Selon l’OMNES (Organisation de la Médecine Naturelle et de l’Éducation Sanitaire), le naturopathe dispose de 10 techniques.
Trois sont fondamentales, les sept autres sont mineures et ont une visée complémentaire pour optimiser la prise en charge. Afin de pouvoir proposer l’une ou plusieurs de ces techniques dans un programme d’hygiène à son consultant, le naturopathe devra établir un bilan adapté au terrain de son consultant.
"L'eau est partout, en nous, autour de nous. Elle n'est pas seulement la naissance, elle est l'intimité de notre terre. Elle occupe l'océan, mais elle habite aussi au cœur de nos infusoires. Elle peut être le déluge mais aussi la rosée des feuilles. Chaque goutte d'eau est la perle d'un collier infini qui entoure le monde. Et, comme toute perle, elle est précieuse, bien que nous l'ayons oublié." Marie Anne Pelerbe
L'organisme est constitué à 60 % d'eau.
L'eau est présente sous 2 formes :
- l'eau liée intégrée aux structures moléculaires
- l'eau libre circulante (sang, lymphe) assurant l'apport nutritif et essentiel aux cellules mais encore l'élimination des déchets.
Une perte d'eau, ne serait-ce que d'1 % provoque un amoindrissement des capacités de thermorégulation, des performances visuelles (cognitives en général), d'endurance à l'effort, une sensation de fatigue, l'apparition d'irritabilité, de tensions, d'humeur dépressive, une peau sèche, plus grave, un aplatissement des veines, une baisse de la tension artérielle, une accélération du cœur qui cherche à compenser la baisse de volume sanguin, altération du cerveau, nausées, engourdissements...
Vous n'y pensez peut-être pas, mais le manque d'hydratation impacte les cordes vocales, est à l'origine d'une voix enrouée, d'une laryngite, d'une extinction de voix...
En vieillissant, la peau se rigidifie, se ternit. Les facteurs vieillissants, aggravants, sont l'exposition excessive au soleil, le tabac, l'exposition au(x) stress, une alimentation pro-inflammatoire pauvre en anti-oxydants...mais aussi le manque d'hydratation !
La constipation, véritable fléau de notre civilisation, a pour causes principales le manque de fibres dans l'alimentation, la sédentarité, le manque de magnésium (et oui, cet indispensable oligo élément !) et une fois encore le manque d'hydratation !
Continuons de parler des déchets et des toxines :
Si l'urine est l'un des principaux modes d'évacuation des déchets, il va de soi qu'un apport suffisant en eau est nécessaire pour assurer un volume correct des urines et permettre ainsi une bonne élimination des molécules indésirables.
Mais l'élimination des toxines se fait également par les selles, la sueur, l'haleine...
L'EAU EST SOURCE DE BIENFAITS. ELLE EST LA THÉRAPIE LA PLUS SIMPLE, LA PLUS ÉCONOMIQUE ET, UTILISÉE À BON ESCIENT, LA PLUS SÛRE. Sebastian Kneipp
Oui mais quelle eau ?
Riche en magnésium, en calcium, en sulfates, en bicarbonates ?
Comment s'y retrouver ?
Qu’est ce qui fait la qualité d’une eau de boisson ? Faut-il qu’elle soit riche en minéraux ? Et comment doivent-ils être, ces minéraux ?
Les eaux minérales contiennent des minéraux qui sont peu biodisponibles, ils risquent alors de surcharger les reins.
Pour s'assurer de la teneur en minéraux des eaux en bouteilles, on regarde l’étiquette, le résidu à sec à 180°C : en dessous de 100 mg/litre, c’est mieux (ex : Mont Roucous).
Mais, le coût de ces eaux en bouteille est 1900 fois celle de l'eau du robinet ! Pour les fabriquer ce ne sont pas moins de 17000 barils de pétrole utilisés et 2 500 000 tonnes de dioxydes de carbone rejetés dans l'air...;-(
Enfin, ces bouteille contiennent du bisphénol-a (ou S maintenant ou du PFT), molécule cancérigène...
En ce qui concerne l’eau du robinet, la teneur en minéraux peut être vérifiée en mairie.
Mais ce qu'il faut savoir, c'est qu'avant d'arriver à votre robinet, cette eau a parcouru...un long chemin dans les canalisations...Elle n'est donc plus dynamisée.
Certes moins polluante que l'eau en bouteille, elle contient un biocide, le chlore (nécessaire à l'obtention des normes de potabilité), des résidus médicamenteux, des hormones, des nitrates, des pesticides, des métaux lourds…
L'eau de source ! Nous parlons de cette eau qui jaillit directement du griffon et qui bénéficie de toutes ses caractéristiques ioniques. Cette eau est vivante ! (en opposition à cette même eau morte si mise en bouteille).
Alors dans la mesure du possible, il faut améliorer son eau :
L'osmose inverse, dynamisation de l'eau, information de l'eau, eau Kangen, eau Eauriginelle...
N'oublions pas que l'eau doit être d'une qualité irréprochable.
Une eau peu minéralisée permet de nettoyer les humeurs : nos liquides corporels.
Elle permet de élimine les toxines et constitue le nettoyage quotidien de notre organisme.
Trop minéralisée, elle ne peut se charger davantage et n'assurera pas son rôle d'élimination.
Quid des oligo éléments ?
Six macrominéraux sont nécessaires en quantité de l'ordre du gramme.
Quatre cations: sodium, potassium, calcium et magnésium
Deux anions d'accompagnement: chlore et phosphore
Les besoins quotidiens varient entre 0,3 et 2,0 g. Les fonctions de l'os, des muscles, du cœur et du cerveau dépendent de ces macrominéraux.
Neuf minéraux à l'état de trace (microminéraux) sont nécessaires en quantités infimes:
Chrome, cuivre, fluor, iode, fer, manganèse, molybdène, sélénium, zinc.
Il y en a un que j'affectionne particulièrement : le Magnésium.
Le magnésium est le quatrième élément minéral le plus répandu dans notre organisme. Le magnésium est la clé nécessaire au bon fonctionnement de tous nos systèmes.
Il convient donc de veiller à avoir un apport constant et régulier en magnésium grâce à l’alimentation.
Mais parfois cela ne suffit pas car l’hygiène et les conditions de vie jouent également un rôle sur son absorption ou sa fuite.
Le magnésium est cofacteur de plus de 300 réactions enzymatiques, c’est-à-dire que les enzymes ne peuvent agir sans lui.
Il favorise la fixation du calcium, du potassium, du phosphore et de la Vitamine C. Il assure également le bon fonctionnement des muscles, des nerfs et du cœur. Le corps n’étant pas capable de fabriquer lui-même le magnésium, il doit être fourni quotidiennement à l’organisme. La meilleure source d’apport étant bien évidemment l’alimentation. C’est dans les os que nous retrouvons 50 à 60 % du magnésium total contenu dans notre corps. Les os sont donc une véritable réserve dans laquelle l’organisme ira puiser, afin de garantir son bon fonctionnement, si l’apport par l’alimentation est insuffisant.
Les muscles renferment 20% du magnésium, les 20 ou 30% restant se retrouvent dans les cellules du système nerveux, du foie, du cœur, des reins, des globules rouges… Le magnésium est donc essentiellement présent à l’intérieur de nos cellules.
Il est par conséquent essentiel à la vie et au bon fonctionnement de chacune de nos cellules, de nos systèmes.
Notre alimentation appauvrie en vitamines et minéraux ne nous permet pas de faire véritablement le plein et
l'exposition aux toxiques (tabac, pollution, hormones...), le stress, fait fuir le magnésium hors de notre corps.
Alain Berthelot dans son livre Le magnésium : « Le stress entraîne un déficit en magnésium et le déficit en magnésium augmente la sensibilité au stress ».
En effet, lors d’un épisode de stress, l’organisme sécrète de l’adrénaline qui fait fuir le magnésium hors de cellules. Le magnésium se retrouvant alors dans le sang, il sera dirigé vers les reins puis éliminé.
Si le meilleur apport reste l'alimentation, il est parfois nécessaire de donner un petit coup de pouce à l'organisme en le supplémentant.
On trouve toutes sortes de magnésium en pharmacie ou en magasin Bio.
Cependant une alternative intéressante consiste à faire 3 ou 4 cures dans l'année de Plasma de Quinton, autrement dit d'eau de mer.
Ce Plasma de Quinton contient 1290 mg de magnésium par litre !
Il contient également, dans la solution hypertonique, des traces de la quasi totalité des éléments du tableau de Mendeleiev, ce qui en fait, une fois diluée en solution isotonique, une boisson idéale pour suppléer une alimentation moderne et garantir un fonctionnement optimal du métabolisme.
L'intérêt tient également à la biodisponibilité des éléments.
Cela signifie que les éléments absorbés peuvent être utilisés par le sang sous forme inchangée. Les expériences menées par René Quinton ont montré la parfaite biodisponibilité de l’eau de mer isotonique.
Par ailleurs, la consommation d’un totum iono-minéral assure une meilleure assimilation par notre organisme de chacun de ces minéraux. On sait en effet que la présence d’autres minéraux est indispensable pour garantir l’absorption et faire de la supplémentation une action positive.
Source : https://plasma-odevie.com/utilisation/complement-alimentaire/
Le Profil Santé Micronutrition®, exclusivité Nutergia, permet une analyse précise des besoins spécifiques en nutriments (acides gras, oligoéléments, antioxydants, vitamines, etc.) liés au mode de vie, à l’environnement, aux incohérences alimentaires.
Il s’établit avec l’outil IoMET® exclusivité innovante NUTERGIA, mis à la disposition des professionnels de santé.
Toute la force du concept de Nutrition Cellulaire Active® est de revenir à la source des dysfonctionnements, la cellule. En effet, l’organisme est constitué de quelques 10 000 à 30 000 milliards de cellules dont le fonctionnement optimal est lié à l’apport de micronutriments indispensables (oligoéléments, vitamines, bons acides gras, etc.).
Or, on observe aujourd’hui fréquemment des déficits en micronutriments, susceptibles d’entraîner des désordres fonctionnels.
Comment connaître son statut bionutritionnel ?
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Des milliers d’observations de patients par des centaines de thérapeutes spécialisés en micronutrition, ont permis, en fonction du capital génétique, de l’environnement, de l’alimentation et du mode de vie de chacun, d’identifier 7 terrains C, H, A, N, B, I, O®, correspondants à des dysfonctionnements différents :
Son avantage ? Une traduction visuelle et rapide des perturbations des terrains.
Un histogramme des 7 terrains exprimés en pourcentage, révèle le « maillon faible », source des désordres observés, autrement dit, il permet d’identifier et de comprendre l’origine des déséquilibres.
L’analyse de votre profil me permettra de vous proposer un apport personnalisé de micronutriments, adapté à vos besoins.
Voici un exemple d'histogramme.
A savoir que dans l'idéal, chaque terrain devrait être sous la barre de 10% !
Vous pouvez au choix : remplir le questionnaire chez vous,
au téléphone avec moi
ou lors d'une consultation.
Si vous préférez le remplir chez vous, prenez contact avec moi afin que je vous le fasse parvenir par email.
Nous conviendrons dans tous les cas d'un rendez-vous afin que je vous détaille le résultat de votre histogramme.
Je vous proposerai alors un plan d'hygiène de vie à adopter afin de corriger les dysfonctionnements révélés par le bilan.
Je vous conseillerai les micronutriments indispensables (oligoéléments, vitamines, bons acides gras, etc.) susceptibles d’entraîner des désordres fonctionnels.
Vous disposerez d'un espace personnel riche en conseils nutritionnels et d’hygiène de vie.
Le syndrome métabolique ou syndrome dit "de la bedaine" est un syndrome, c’est-à-dire une association d’anomalies.
Celles-ci sont liées à la présence d’un excès de graisse à l’intérieur du ventre (graisse viscérale).
Les anomalies qui caractérisent le syndrome métabolique sont :
- un tour de taille élevé (recommandation Haute Autorité de Santé),
- un excès de sucre dans le sang (hyperglycémie)
- un excès de triglycérides dans le sang (hypertriglycéridémie)
- une pression artérielle élevée
- un taux bas de bon cholestérol.
On parle de syndrome métabolique lorsque sont présentes au moins trois des anomalies précédentes.
Qu’est-ce que le “risque cardiométabolique” ?
Les médecins appellent risque cardiométabolique le risque de souffrir, à plus ou moins long terme d’une maladie cardiovasculaire (attaque cardiaque, attaque cérébrale…) et/ou d’un diabète.
Il est d’autant plus élevé que l’on est touché par plusieurs anomalies telles que celles décrites ci-dessous.
Attention : chaque anomalie ne doit pas être considérée de manière individuelle.
Le fait d’avoir plusieurs petites anomalies telles qu’un tour de taille « un peu » élevé, un pré-diabète ou encore une pré-hypertension est à prendre au sérieux même s’il n’y a pas de véritable obésité, de diabète ou d’hypertension.
En pratique, l’évaluation du risque cardiométabolique nécessite de mesurer son tour de taille et sa pression artérielle, ainsi que d’effectuer une prise de sang.
Le syndrome métabolique précède l’évolution vers la maladie.
Plus tout à fait la santé, pas encore la maladie
Cependant, il est possible de contrôler efficacement ces facteurs de risque, en modifiant ses habitudes de vie et/ou par des traitements médicamenteux adaptés.
Le cholestérol est un lipide de la famille des hormones stéroïdes.
Le cholestérol est le stéroïde le plus important du corps humain.
Il a une structure très différente des graisses.
Il est liposoluble.
Le cholestérol est une substance que l’on trouve dans les graisses animales, le jaune d’œuf et bien entendu le corps humain.
Il entre dans la constitution de sels biliaires (indispensables à la digestion, des hormones stéroïdes dont les hormones sexuelles (œstrogène, progestérone et testostérone) et de la Vitamine D.
Il est essentiel à la production d’adrénaline, de la myéline et de la paroi qui tapisse les nerfs et les membranes du cerveau.
Le naturopathe considère que 70 % des maladies est la cause d’un mode de vie inadapté.
Nous pourrions éviter 30 % des cancers avec une alimentation que j’appellerai « alimentation santé ».
Nous éviterions 50 % de cancers du sein, 70 % de la prostate et 80 % du colon.
Pour ce qui nous intéresse ici, ce n’est pas moins de 70 % des risques d’infarctus en moins si nous consommons de bonnes graisses.
La naturopathie sera toujours plus efficace dans la prévention.
Les personnes malades sont toujours plus difficiles à traiter.
L’espérance de vie est de 85.6 ans pour les femmes et 79.7 ans pour les hommes.
Nous évaluons en France actuellement à 62 ans l’espérance de vie sans incapacité (le traitement par un seul médicament est considéré comme une incapacité).
Il est donc très préoccupant de constater que les français de plus de 62 ans sont concernés par une pathologie nécessitant une prise en charge médicamenteuse, souvent à vie.
Et l’alimentation dans tout cela ?
Même si nous avons vu que l’apport de graisses provenant de notre assiette n’influe que de 15 % sur notre taux de cholestérol, la qualité des graisses joue un rôle fondamental.
Les changements alimentaires amenant à une consommation de produits que l’on peut qualifier d’impropres à notre bon fonctionnement sont au banc des accusés : Viennoiseries, biscuits, pizzas, sucres sous toutes ses formes influent sur le rapport HDL et LDL.
Les sucres contenus dans cette « junkfood » augmentent la production de cortisol, et si le cortisol est trop élevé (stress chronique), le corps va stocker plus facilement les graisses.
Il faut retenir que maigrir fait baisser le mauvais cholestérol.
Car pour maigrir il faut avoir une alimentation hypoglycémiante.
Il est bon parfois de rappeler aux personnes qui disent ne pas consommer de sucre qu’une baguette c’est 25 morceaux de sucre !
Le sucre, le glucose, donnent du cholestérol. Et le glucose nous le retrouvons partout. Le sucre est acidifiant et oxydant.
Et c’est justement là le problème du LDL, qui sous l’effet de l’oxydation qu’il peut subir sur le chemin du foie vers les cellules se transforme en phénotype Apo B, petits et denses.
Le phénomène d’oxydation est alors toxique pour les cellules et peut provoquer l’agrégation plaquettaire et plaques d’athérome sur les artères responsables comme on le sait d’infarctus, d’accidents vasculaires cérébraux…
Le glucose favorise le cholestérol.
Diminuer son apport en glucose diminue le taux de triglycérides et le taux de cholestérol.
Un déséquilibre du cholestérol est la traduction, le symptôme d’une désadaptation alimentaire, d’un stress, d’un mode de vie.
La vision holistique du naturopathe nous permet d’affirmer que prendre soin de son cholestérol c’est également prendre soin de son corps, dans son ensemble (et inversement).
L'OMS considère que la maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées sont le problème de santé le plus grave du 21ème siècle - elle est donc une priorité de santé publique mondiale.
En effet, 7,7 millions de nouveaux cas sont recensés tous les ans, soit un nouveau cas toutes les quatre secondes.
On estime que 50% des patients atteints ne sont pas diagnostiqués.
Un diagnostic retentissant.
L'annonce du diagnostic a un effet retentissant sur le système familial, qui peut se manifester par un bouleversement émotionnel, des altérations de fonctionnement familial, ou encore des altérations des modes de relations avec l'extérieur. Les modes de relation entre le malade et ses proches en sont modifiés.
Protéger l'aidant.
Les manifestations sont nombreuses.
Le trouble du sommeil est un des troubles du comportement souvent présent.
Il est épuisant pour l'entourage, puisque le patient ne dort plus la nuit.
Le trouble du sommeil est aussi gênant dans le cadre des prises en charge, puisque le patient est épuisé la journée et la fatigue entraîne la majoration d'autres troubles du comportement.
Lorsqu'il y a un trouble du sommeil, le principe c'est d'avoir une évaluation relativement globale de la situation.
Le Naturopathe peut intervenir à domicile une ou plusieurs fois dans la semaine pour proposer la mise en place de rituels ou d'une routine visant à apaiser le patient. Pour cela il usera de techniques douces et apaisantes comme la réflexologie plantaire ou palmaire, le massage, les tisanes apaisantes, la diffusion d'huiles essentielles apaisantes...
En conclusion
Le Naturopathe fait de la prévention.
Il n'a en aucun cas la prétention de guérir.
Il peut cependant accompagner au plus juste l'aidant mais aussi la personne atteinte de troubles dégénératifs.
En effet, la prévention, qu'elle porte sur le volet alimentaire, en soutenant l'énergie vitale nécessaire à l'aidant ou en diminuant l'inflammation du malade grâce à une alimentation anti-inflammatoire et anti-oxydante ou bien qu'elle s'attache à gérer le stress de l'aidant et /ou du malade, va grandement contribuer à améliorer le quotidien de l'aidant et de son proche malade.
Il faut en effet garder à l'esprit que la prévention dans ce qu'elle apporte à l'aidant et /ou à l'accompagnant peut significativement, non pas guérir, mais réduire les manifestations de la maladie.
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La maladie d’Alzheimer qui touche principalement la mémoire pourrait ainsi toucher des personnes désireuses consciemment ou non de se débarrasser d’une réalité quotidienne ou d’un passé trop lourd à porter.
Les personnes se sentent piégées de leur condition, vivent une situation qui leur apparaît sans solution, n'arrivant plus à lutter contre ce avec quoi elles ne sont pas en accord.
Elles sentent leurs forces s'évanouir...
Les troubles peuvent mettre en évidence un désir d’oublier des liens avec des ancêtres ou des racines familiales.
Il y a dans les manifestations de la maladie d'Alzheimer une forme de fuite face à ce qui est devenu trop difficile à vivre. Un peu comme si la personne préférait ne pas être consciente de ce qui se passe.
Cela conduit à la volonté (consciente ou non) de fuir la réalité et de se réfugier dans un monde différent,
espéré meilleur.
Décodage biologique
[...] Le malade connait, toute sa vie, une alternance de nombreux conflits et de solutions, surtout des conflits de séparation.
Un décodage possible est le suivant : ces malades ont des conflits de séparation,ils ont besoin de contact, ils aiment être pris en charge, être aidés et, en même temps, l'autonomie est très importante.
Survient cette double contrainte : "J'ai besoin du contact avec l'autre, j'ai besoin d'une distance avec l'autre".
Lorsque la personne entre dans la maladie, elle satisfait ses besoins et et n'est plus en double contrainte puisqu'elle est en permanence en contact et prise en charge, ne se suffisant plus à elle-même et, en même temps, reste dans sa bulle. [...] C. Flèche - Décodage biologique des maladies - Ed. Le souffle d'or.
Le Reiki est une méthode de soin japonaise appartenant à l’approche énergétique.
En japonais, Rei veut dire universel et inclut la matière, l'âme et l'esprit. Ki (ou Qi) renvoie à l'énergie vitale qui circule en nous, telle que la comprennent les médecines orientales comme la Médecine traditionnelle chinoise et l’ayurveda.
Le Reiki est donc la mise ou la remise en contact de « l'énergie universelle » et de notre propre « force vitale » dans le but d'éveiller un processus dynamique de retour à l'équilibre.
Source : https://www.passeportsante.net/fr/Therapies/Guide/Fiche.aspx?doc=medecine_traditionnelle_chinoise_th
LE REIKI EN QUELQUES MOTS
Le Reiki est donc une technique de relaxation japonaise qui se pratique par imposition des mains.
C’est une méthode naturelle, destinée à harmoniser le corps, les émotions et l’esprit.
C’est également un excellent moyen de faire le plein d’énergie et de se ressourcer.
Les vertus du Reiki se rapprochent de celles de la méditation dont on sait aujourd’hui qu’elle améliore significativement l’état de santé physique et mental de ceux qui la pratiquent.
Parmi les effets fréquemment constatés, on peut citer la libération des nœuds psychiques et des tensions corporelles, l’harmonisation du système émotionnel et un mieux-être global.
Le Reiki peut se pratiquer sur soi comme une discipline énergétique et/ou un art de vivre.
Mais on peut également en recevoir des séances par une autre personne, correctement formée.
Il est alors recommandé de recevoir plusieurs séances pour en percevoir les bienfaits.
A QUI S’ADRESSE LE REIKI ?
Le Reiki est accessible à tous, hommes, femmes, enfants.
Toutefois, si le Reiki ne présente pas de contre-indication, les personnes qui sont sujettes à une fragilité psychologique ne doivent pas recourir à cette méthode. De même, le Reiki est déconseillé aux patients qui souffrent de troubles mentaux tels que la schizophrénie, les troubles bipolaires, les troubles psychotiques etc.
Ceux qui désirent entreprendre une démarche personnelle et thérapeutique.
Ceux qui cherchent à évoluer de façon plus efficace et harmonieuse.
Il est recommandé et indiqué pour les personnes dépressives, fatiguées, les malades, les convalescents.
A tous les amoureux de la vie, dont les mamans, les femmes enceintes etc....
A savoir que dans certains pays, la pratique du Reiki en milieu hospitalier à progressivement pris sa place.
C’est notamment le cas aux États Unis, au Canada, en Allemagne, en Espagne...
COMMENT LE REIKI AGIT-IL ?
L’énergie Reiki est une énergie subtile, qui agit par interaction avec nos champs énergétiques. Ceux-ci sont composés de nos chakras, nos différents corps subtils, le tout formant l’aura.
Le reiki n’agit pas directement sur le corps psychique mais exerce son action par le plan énergétique.
En agissant sur nos champs énergétiques, il intervient sur nos blocages qui sont souvent d’ordre mental, émotionnel.
Ces perturbations énergétiques peuvent être les causes et les conséquences de la maladie et de tous les autres maux psychophysiques dont nous souffrons.
Le Reiki nous met en contact avec tout notre être, spirituel, mental, émotionnel et physique.
Sur le plan physique nous pouvons ressentir l’énergie Reiki de différentes façons :
chaleur, froid, picotements ou vibrations subtiles.
Pour celui qui reçoit le Reiki, les perceptions premières sont une sensation de détente, de bien-être, et en cas de souffrance chronique, un apaisement souvent instantané.
Afin de pouvoir apporter une appréciation personnelle, rien ne vaut l’expérience, la vôtre.
A chacun d’être à l’écoute de ce qui se passe.
Ne pas perdre de vue que chaque être est unique et que d’une personne à une autre les perceptions ou ressentis peuvent être différents.
A suivre...